Lettre d’appui aux parents d’élèves de cinq écoles primaires visées par la délocalisation planifiée par la Commission scolaires des Laurentides vers des établissements secondaires en 2018-2019
Présenté par les membres du comité organisateur du mouvement national JE PROTÈGE MON ÉCOLE PUBLIQUE
Dans le cadre des consultations publiques organisées par la Commission scolaire des Laurentides au sujet de la répartition de la population scolaire
Février 2018
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Mesdames, Messieurs,
La présente vous est envoyée pour signifier notre appui aux parents qui participent aux consultations publiques sur le projet de délocalisation d’élèves du primaire vers des établissements secondaires proposé par la Commission scolaire des Laurentides (CSL).
Le mouvement JE PROTÈGE MON ÉCOLE PUBLIQUE (JPMEP), un regroupement citoyen, indépendant et non partisan, qui réunit des dizaines de milliers de parents et de gens de partout au Québec, s’est donné la mission de dénoncer le sous-financement chronique qui accable le réseau d’éducation public québécois, ainsi que les conséquences désastreuses que cela génère sur le parcours scolaire de nos enfants. À cette dénonciation du manque de financement, nous devons ajouter maintenant celle du manque d’espace et d’entretien de nos infrastructures scolaires publiques, qui ne suffisent plus à répondre à un nombre croissant d’élèves et qui peinent à assurer des conditions d’enseignement et d’apprentissage acceptables.
À notre avis, l’objet de ces consultations publiques, bien que d’ordre local, expose un enjeu d’intérêt pour l’ensemble de la société québécoise, et c’est pourquoi nous choisissons d’intervenir. Quand des parents se lèvent pour revendiquer mieux pour leurs enfants, c’est l’ensemble des parents du Québec qui se mobilisent à leurs côté !
La surpopulation dans nos écoles, un problème réel
Le mouvement JPMEP est interpellé par les problèmes de surpopulation qui touchent actuellement les élèves des écoles de la Commission scolaire des Laurentides, comme on le constate dans bien d’autres régions du Québec, et qui pourrait forcer la délocalisation d’élèves de cinq établissements primaires vers deux écoles secondaires de la région :
- les élèves de 6e année de l’école L’Arc-en-ciel (Huberdeau), de l’école Le Tremplin (Labelle) et du Campus primaire Mont-Tremblant (Mont-Tremblant) seraient déplacés vers l’école secondaire Curé-Mercure (également à Mont-Tremblant) ;
- les élèves de 6e année de l’école Saint-Jean-Baptiste / Sainte-Marie (Val-David) et les élèves de 5e et de 6e années de l’école Lionel-Groulx / Monseigneur-Bazinet (Sainte-Agathe-des-Monts) seraient déplacés vers la Polyvalente des Monts (aussi à Sainte-Agathe-des-Monts).
Selon les données présentées par la CSL, la capacité d’accueil combinée de ces cinq établissements primaires serait dépassée de plus de 250 élèves en 2018-2019, et jusqu’à 310 élèves l’année suivante : alors que la capacité prévue totale est actuellement de 1859 élèves, on prévoit que 2110 élèves y seront inscrits l’an prochain, et 2168 en 2019-2020.
Avec un taux d’occupation qui approche et dépasse même les 115 %, la démonstration de cette surpopulation n’est plus à faire. Notre propos ne sera pas de nier la réalité. D’autant plus que l’augmentation de la population scolaire, c’est fondamentalement une bonne chose : tout le monde peut se réjouir de voir arriver plus d’enfants dans nos écoles !
Un problème régional, voire national, qui est connu depuis longtemps
Il nous importe de rappeler que ce portrait inquiétant se vit d’abord et avant tout dans chacune des localités que desservent ces écoles, et que chaque communauté est tout à fait en mesure d’évaluer elle-même la pertinence des scénarios proposées par la CSL pour y remédier.
D’ailleurs, cet écart entre la capacité d’accueil autorisée par les règles administratives du ministère de l’Éducation et le nombre d’élèves qui sont effectivement accueillis dans ces écoles n’est pas une nouveauté : cette situation est connue, et dénoncée, depuis plusieurs années déjà. Les directions d’établissement travaillent déjà avec leur équipe-école, et avec les parents, afin d’assurer, malgré le manque d’espace, une expérience scolaire bénéfique pour tous les élèves. Et considérant les commentaires qu’on peut entendre sur le terrain, ces efforts portent fruit !
Dans ces circonstances, nous comprenons que certaines personnes s’interrogent sur ce qui a changé récemment qui justifierait l’urgence d’agir maintenant, alors que ce n’était pas le cas en 2017-2018, ou en 2016-2017… Pourquoi les mesures nécessaires n’ont pas été prises en amont, bien avant que la CSL n’envisage d’imposer une telle décision draconienne aux élèves, à leurs parents et au personnel de ces écoles ?
Une mesure qui ne tient pas compte des particularités et revendications locales
Il y a lieu de se questionner également sur le choix de mettre en place une solution à la portée régionale aussi considérable, alors que les réalités des communautés touchée sont si différentes. Force est d’admettre que la comparaison entre L’Arc-en-Ciel (petite école de moins de cent élèves) et le Campus primaire Mont-Tremblant (qui réunit plus de mille élèves dans quatre pavillons et une école alternative) fait ressortir des distinctions significatives
De plus, il faut tenir compte de l’évolution différente que connaîtront ces situations dans les prochaines années. Si les tendances identifiées se maintiennent effectivement, les problèmes de la surpopulation devraient généralement s’estomper à partir de 2021, à deux exceptions près :
- à l’école Arc-en-Ciel d’Huberdeau, où, dès 2020, le nombre d’élèves se maintiendra sous l’évaluation de la capacité d’accueil de cet établissement,
- à l’école Lionel-Groulx / Monseigneur-Bazinet de Sainte-Agathe-des-Monts, où la surpopulation pourrait au contraire continuer de s’aggraver au-delà de 2023.
La gravité de la situation actuelle mérite-t-elle qu’on envisage maintenant une solution uniforme aussi bouleversante pour les élèves et leurs communautés ?
Il va sans dire que la mise en place de mesures à plus petite échelle, propres à chacune des communautés visées, et avec l’assentiment de celles-ci, demandera peut-être plus d’efforts. Fort heureusement, les parents et les membres de ses communautés qui se battent aujourd’hui pour “sauver” leur école ont déjà abattu une partie importante de ce travail !
Il nous faut d’ailleurs souligner les incroyables efforts de mobilisation des parents et des membres de chaque communauté visée par ces projets de délocalisation d’élèves (incluant la collectivité de Saint-Adolphe-d’Howard, qui propose de rouvrir son école pour contribuer à la résolution du problème de surpopulation des écoles des municipalités voisines).
Dans un contexte émotif certainement difficile, ils et elles ont pris du temps pour se réunir et discuter, pour développer ensemble un argumentaire réfléchi et pondéré, pour trouver des appuis dans tous les milieux et, surtout, pour identifier d’autres solutions qui répondent mieux aux demandes de leur localité respective. Puis, ils et elles se sont déplacés, par centaines, à chacune des séances de consultation publique organisées par la commission scolaire. Des efforts qui méritent certainement d’être célébrés !
Nous vous invitons à étudier sérieusement les propositions des groupes qui ont ainsi déposé des mémoires pour alimenter votre réflexion, puisque, à n’en pas douter, ces gens sont les mieux placés pour savoir ce qui assurera l’acceptabilité sociale des choix que fera la CSL.
Répondre aux besoins des élèves avant de répondre à des normes administratives
À la lecture de la documentation préparée par l’administration de la Commission scolaire des Laurentides, nous avons constaté, avec une certaine surprise, que le problème soulevé était essentiellement expliqué en fonction des règles ministérielles de capacité d’accueil des écoles.
Il faut donc en comprendre que ce sont d’abord pour des raisons administratives — et selon des critères établis à Québec, qui plus est ! — que les scénarios de déplacement des élèves du 3e cycle du primaire sont envisagés, et non pour répondre à des préoccupations causées par le manque d’espace et la surpopulation dans ces écoles, ni pour répondre aux besoins des élèves.
Or, les communautés se disent prêtes, au contraire, à faire des “agrandissements par l’intérieur”, c’est-à-dire à récupérer les locaux spécialisés disponibles (labo d’informatique, service de garde…) pour en faire des nouvelles classes, en attendant que des projets d’ajout d’espace soient autorisés. Cela montre bien à quel point la volonté de garder les élèves dans leur milieu est ferme.
Le souci de la CSL de se conformer à des règles administratives met en lumière, justement, l’arbitraire de ces règles, et surtout l’absurdité de les appliquer sans un certain discernement. En ce sens, la bataille que l’école Arc-en-Ciel (Huberdeau) a mené pour sa classe de maternelle, au cours des deux dernières années, en est un exemple patent : à cause d’un 0,52 mètre carré réglementaire manquant (!), elle a dû se battre pour conserver des places pour ses élèves les plus jeunes, et elle se voit maintenant menacée de perdre ses plus vieux…
Il nous semble tout aussi étrange d’ailleurs que, parmi les critères guidant la CSL, la stabilité du parcours scolaire des élèves n’inclut pas forcément le respect de l’ordre d’enseignement.
Enfin, cette délocalisation des élèves soulèvent plusieurs questions, tant administratives que pratiques, auxquelles il importe de répondre plus en détails, ce que l’administration de la commission scolaire, pour l’instant, n’a pas réussi à faire de façon satisfaisante :
- Indices de défavorisation : Sera-t-il possible de réconcilier les écarts d’indice de défavorisation entre les différents établissements visés et d’éviter ainsi la disparition des services qui y sont liés ? (Par exemple, les indices de défavorisation des écoles de Sainte-Agathe-des-Monts et de Val-David, dont les élèves seront déplacés vers la Polyvalente des Monts, sont de 9 et de 3, respectivement.)
- Transport scolaire et service de garde : L’organisation et le financement de ces services aux élèves, si c’est le cas, seront-ils confiés à l’école secondaire ou aux différentes écoles primaires ?
- Modification des actes d’établissement : Les scénarios proposés par la CSL prévoient que les actes d’établissement des écoles primaires et secondaires touchées soient modifiés pour officialiser la délocalisation des élèves. Est-il possible de faciliter, voire de garantir, le retour éventuel des élèves au primaire en le planifiant dès maintenant ?
- Représentation des parents : Quelles modifications à la composition des conseils d’établissement, ainsi qu’à la représentation des parents au sein du Comité de parents, la CSL compte-t-elle mettre en place pour accompagner cette mesure ? (Rappelons au passage que l’article 43 de la Loi sur l’instruction publique prévoit qu’avant de modifier ces dispositions, la commission scolaire doit consulter l’assemblée générale des groupes représentés au sein d’un conseil d’établissement.)
Des solutions qui favorisent l’équité entre les cohortes d’élèves
Nous sommes sensibles à la situation difficile dans laquelle sont placées nos administrations scolaires, que l’on force à faire toujours plus avec moins. Heureusement, depuis environ un an, le gouvernement a recommencé à délier les cordons de la bourse ; les élections approchent…
Mais, à nos yeux, faire mieux à partir de maintenant, ce n’est pas suffisant. Il nous faut aussi rattraper le retard accumulé au cours des dernières années, pour ne pas dire des dernières décennies. Et il nous faut donc penser aux élèves actuellement sur les bancs d’école, qui vivent toujours avec les conséquences de ces compressions budgétaires, de ce manque d’espace et d’entretien de nos écoles, de l’absence de services professionnels, de la pénurie de personnel, etc.
Malheureusement, et c’est bien avec regret que nous l’affirmons ici, la solution envisagée par la Commission scolaire des Laurentides nous semble participer de ce même manque de considération pour le parcours scolaire des élèves affectés : cette délocalisation d’élèves du primaire est une solution à court terme, pour un problème durable, en attendant de pouvoir offrir un retour à la normal, à défaut de mieux, aux élèves qui viendront par la suite…
Au-delà des considérations sur les conséquence pédagogiques de cette délocalisation — dont il faut absolument tenir compte, évidemment ! —, il faut reconnaître qu’il y a quelque chose immensément injuste d’imposer à toute une cohorte d’élèves un contexte si différent de celui que le régime scolaire prévoit normalement, et que les autres élèves de la région n’auront pas à subir.
Considérant toute l’importance de la transition entre le primaire et le secondaire dans le parcours de chaque élève et sur son rapport à l’éducation, de même que les effets connus de la qualité de cette transition sur la persévérance scolaire, il n’est pas difficile d’imaginer l’impact qu’une telle mesure pourrait avoir : cette décision ne sera certainement pas anodine.
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Il ne nous apparaît pas utile de répéter ici les raisons de craindre une telle mesure, ni de vous proposer d’autres solutions mieux adaptées aux souhaits des communautés qui devront en vivre les conséquences : les groupes qui se sont manifestés avant nous se seront certainement bien acquittés de cette tâche. Nous espérons seulement que vous demeurerez à l’écoute de ces communautés et que vous prendrez votre décision en continuant de privilégier les besoins des élèves et de leurs parents, au-delà de la facilité de trouver une même solution pour toute la région.
À l’évidence, les parents ne se positionnent pas contre la Commission scolaire des Laurentides, mais pour leurs enfants, tout simplement. Il y a un avantage certain à profiter de toute cette énergie ainsi déployée !
Et si le choix d’autres moyens exige un engagement financier plus important, ou s’il s’avère nécessaire de demander d’assouplir ou d’abroger certaines règles bureaucratiques du ministère de l’Éducation, nous nous ferons un devoir de joindre vos revendications aux nôtres et de mobiliser notre base militante pour porter le message haut et fort auprès des personnes qui prennent ces décisions, en haut lieu, à Québec !
En vous souhaitant des délibérations fructueuses et éclairantes, nous vous prions de recevoir, Mesdames, Messieurs, l’expression de nos plus chaleureuses salutations.
Pascale Grignon et Marc. Etienne Deslauriers,
au nom du comité organisateur du mouvement JE PROTÈGE MON ÉCOLE PUBLIQUE
jpmep.com | infos@jpmep.com
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RÉFÉRENCES
Documents des consultations publiques préparés par la CS des Laurentides :
- Projet de répartition de la clientèle 2018-2019, 2019-2020 et 2020-2021 , présentation des scénarios de délocalisation des élèves de ces cinq établissements : www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/Projet_de_répartition_des_clientèles_18-19_19-20_20-21_SW.pdf
- Portrait de la clientèle , description des nombres d’élèves et de locaux prévus pour la période de planification soumise à cette consultation publique : www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/coles_primaires_Prévisions_2018-2023.pdf
- Planification de la répartition de la clientèle scolaire pour 2018-2019, 2019-2020, 2020-2021. Rencontre du mardi 13 février, Campus primaire Mont-Tremblant ,document de présentation utilisé lors de la première séance de consultation publique : consultation publique-modele_ESCM_CPMT
- Documents présentant les détails de la capacité d’accueil…
- … de l’école Arc-en-Ciel (Huberdeau) www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/ARC-EN-CIEL_Capacité_accueil.pdf
- … du Campus primaire Mont-Tremblant (Mont-Tremblant) www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/CAMPUS_TREMBLANT-ODYSSÉE_Capacité_accueil.pdf
- … de l’école Le Tremplin (Labelle) www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/LE_TREMPLIN_Capacité_accueil.pdf
- … de l’école Saint-Jean-Baptiste / Sainte-Marie (Val-David) www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/ST-JEAN-BAPTISTE_STE-MARIE_Capacité_accueil.pdf
- … de l’école Lionel-Groulx / Monseigneur-Bazinet (Sainte-Agathe-des-Monts) www.cslaurentides.qc.ca/PDFS/LIONEL-GROULX_MGR-BAZINET_Capacité_accueil.pdf
Sources médiatiques :
(En ordre chronologique.)
« La Commission scolaire des Laurentides contestée : Avec les fleurs, les pots ! », article de L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 8 septembre 2016 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2016/9/8/avec-les-fleurs–les-pots-.html
« Projet d’école à caractère alternatif à La Minerve : L’école La Relève relève le défi et gagne », article de Ronald McGregor (TC Média), dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 1e r novembre 2016 : www.linformationdunordvalleedelarouge.ca/actualites/2016/11/1/l-ecole-la-releve-releve-le-defi-et-gagne.html
« Les enfants du préscolaire iraient à Amherst : Le transfert d’élèves d’Huberdeau fait l’objet d’une consultation », article de Maxime Coursol, dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 7 avril 2017 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2017/4/6/le-transfert-d-eleves-d-huberdeau-fait-l-objet-d-une-consultatio.html
« Projet de transfert d’élèves à Amherst : “Ne déracinez pas les enfants de leur milieu”, disent des parents d’Huberdeau », article de Maxime Coursol, dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 24 avril 2017 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2017/4/24/-ne-deracinez-pas-les-enfants-de-leur-milieu—disent-des-parent.html
« Les commissaires délaissent le projet d’un transfert : Tous les enfants de la maternelle à l’école d’Huberdeau en septembre », article de Maxime Coursol, dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 17 mai 2017 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2017/5/17/tous-les-enfants-de-la-maternelle-a-l-ecole-d-huberdeau-en-septe.html
« De plus en plus de jeunes familles : Un manque de classes à l’école de Labelle ? », article de L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le 26 mai 2017 : www.linformationdunordvalleedelarouge.ca/actualites/2017/5/26/un-manque-de-classes-a-lecole-de-labelle-.html
« Les écoliers pourraient être transférés dans les polyvalentes », article de Maxime Coursol dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le jeudi 25 janvier 2018 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2018/1/25/les-ecoliers-pourraient-etre-transferes-dans-les-polyvalentes.html
« Transfert d’écoliers vers les polyvalentes : “Il n’y a rien de coulé dans le béton” — Gisèle Godreau », article de Maxime Coursol dans L’information du Nord (Sainte-Agathe) , publié le vendredi 26 janvier 2018 : www.linformationdunordsainteagathe.ca/actualites/18/1/26/il-ny-a-rien-de-coule-dans-le-beton-gisele-godreau.html
« Transfert d’écoliers vers les polyvalentes : Les parents montent au front », article de Maxime Coursol dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le vendredi 26 janvier 2018 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2018/1/26/les-parents-montent-au-front.html
« Mobilisation pour le maintien des élèves de 6e année à Val-David », article de Sandra Mathieu dans Accès, le journal des Pays-d’en-haut , publié le mardi 30 janvier 2018 : www.journalacces.ca/a-la-une/mobilisation-maintien-eleves-de-6e-annee-a-val-david/
« Les écoles primaires des Laurentides débordent », reportage de Valérie-Micaela Bain et Sarah Sanchez de Radio-Canada, diffusé le lundi 5 février 2018 : ici.radio-canada.ca/nouvelle/1082312/les-ecoles-primaires-des-laurentides-debordent
« Transfert d’élèves de 6e année vers des écoles secondaires de la CSL », entrevues menées par Annie Desrochers, animatrice de l’émission du 15-18 de la Première Chaîne de Radio-Canada, auprès d’Elisabeth Gibeau, porte-parole des parents de Val-David, et de Gisèle Godreau, présidente de la Commission scolaire des Laurentides, diffusées le lundi 5 février 2018 : ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/episodes/400049/audio-fil-du-lundi-5-fevrier-2018/7
« Hausse de clientèle dans les Laurentides : Saint-Adolphe veut rouvrir son école primaire », article de L’information du Nord (Sainte-Agathe) , publié le vendredi 16 février 2018 : www.linformationdunordsainteagathe.ca/actualites/2018/2/16/saint-adolphe-veut-rouvrir-son-ecole-primaire.html
« Le projet de transfert des sixièmes au secondaire : “Je n’ai pas envie que mon enfant serve de cobaye…” », article d’Yves Rouleau, dans L’information du Nord (Mont-Tremblant) , publié le mercredi 21 février 2018 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2018/2/21/je-nai-pas-envie-que-mon-enfant-serve-de-cobaye.html
« Malgré le dépassement de capacité à l’Arc-en-Ciel : Huberdeau demande de trouver de la place pour les élèves de 6e », article d’Yves Rouleau, dans L’information du Nord (Mont-Tremblant), publié le mercredi 21 février 2018 : www.linformationdunordmonttremblant.ca/actualites/2018/2/21/je-nai-pas-envie-que-mon-enfant-serve-de-cobaye.html
« Relocalisation des élèves à la Polyvalente des Monts : Les parents de Lionel-Groulx/Mgr Bazinet farouchement opposés ! », article de Daniel Deslauriers, dans L’information du Nord (Sainte-Agathe), publié le mardi 27 février 2018 : www.linformationdunordsainteagathe.ca/actualites/2018/2/27/les-parents-de-lionel-groulx-mgr-bazinet-farouchement-opposes.html